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L'espace en tremblement | Toujours je ne trouverai de par la foule que tes yeux dans l’espace en tremblement | Page 2
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L’espace en tremblement. Toujours je ne trouverai de par la foule que tes yeux dans l’espace en tremblement. Danser au bord du gouffre en chantant Tu m’aimes-tu? Il me semble que c’est ça la vie. Je me demande souvent pourquoi je fais ce que je fais, pourquoi je suis ce que je suis, pourquoi ne pas être ailleurs. Souvent je m’incline devant tant d’incertitudes, devant la beauté d’ Eleonor Rigby. Qu’est-ce qui reste? Tu m’aimes-tu, Eleonor Rigby, Gaston Miron et toi. Les auréoles du temps. Dans l’in...
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Pour Paul-Marie Lapointe | L'espace en tremblement
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L’espace en tremblement. Toujours je ne trouverai de par la foule que tes yeux dans l’espace en tremblement. Mais ta seule présence en paralyse. Il n’y a que toi. Sur le même thème. 3 Commentaires to “Pour Paul-Marie Lapointe”. Diantre, mon amie, au même moment que tu écris ces lignes j’achève une toile d’arbre. Oh les hasards en cette vie-ci. Content de voir que ton blogue reprend vie. Laisser un commentaire Annuler la réponse. Adresse de messagerie (obligatoire). Laquo; Article précédent.
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6 décembre 1989 | L'espace en tremblement
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L’espace en tremblement. Toujours je ne trouverai de par la foule que tes yeux dans l’espace en tremblement. Geneviève Bergeron, Hélène Colgan, Nathalie Croteau, Barbara Daigneault, Anne-Marie Edward, Maud Haviernick, Barbara Klucznick-Widajewicz, Maryse Laganière, Maryse Auclair, Anne-Marie Lemay, Sonia Pelletier, Michèle Richard et les centaines d’autres personnes qui, le 6 décembre 1989, ont fracassé leur visage contre le mur de Polytechnique. Il faut ériger les mots en monument. Observer ce qui reste.
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avril | 2010 | L'espace en tremblement
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L’espace en tremblement. Toujours je ne trouverai de par la foule que tes yeux dans l’espace en tremblement. Mois : avril, 2010. Pourquoi la poésie ou l’impression d’exister. Que me permet la poésie? C’est bien d’amener un sujet par des questions. Mon amie prof de métho en littérature. Vous le dira. Ce billet qui me fait sortir de mon confort, je dois le dire. Car il n’est pas poésie. Mais en guise de réponse, voici, fort brièvement. Que je marche à toi . Le solstice d’été. Dans très peu de temps. Créez ...
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Meta | L'espace en tremblement
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L’espace en tremblement. Toujours je ne trouverai de par la foule que tes yeux dans l’espace en tremblement. Sur le même thème. Un commentaire to “Meta”. Laisser un commentaire Annuler la réponse. Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:. Adresse de messagerie (obligatoire). Vous commentez à l'aide de votre compte WordPress.com. ( Déconnexion. Vous commentez à l'aide de votre compte Twitter. ( Déconnexion. Avertissez-moi par email des nouveaux commentaires.
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Ce matin-là | L'espace en tremblement
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L’espace en tremblement. Toujours je ne trouverai de par la foule que tes yeux dans l’espace en tremblement. L’aube est sans lumière. Alors que, fragile, soudain,. Le jour d’après ne nous parvient pas. Pas plus que le reste du monde. Ou le froid de l’automne. Le savoir ira saccager les églises. Malgré que le monde entier éclate. Jamais rien ne le brisera. Sur le même thème. Laisser un commentaire Annuler la réponse. Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:.
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Cerné: pink slip
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171; Il en va de l'amour en général comme de l'amour des villes en particulier: quand on est épris d'une cité, on y musarde, on s'y égare, on s'y épuise. Jean-Noël Blanc, Besoin de ville. Montréal, Québec, Canada. Afficher mon profil complet. Département d'études littéraires (UQAM). La Traversée - Atelier québécois de géopoétique. Librairie Le Port de tête. Ce n'est écrit nulle part. Atelier K - espace fragmentaire. La main, le souffle. La vie en instantanés. Le blog de la ville. Le Dernier des Mahigan.
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Cerné: tête de violon
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171; Il en va de l'amour en général comme de l'amour des villes en particulier: quand on est épris d'une cité, on y musarde, on s'y égare, on s'y épuise. Jean-Noël Blanc, Besoin de ville. Je me rappelle la fameuse entrée de Jérôme Twist à la. Ça va être bon ça… Tu sais…. Tu sais, mon ami… Les oiseaux ne sont pas tous dans des cages! Pour preuve, les pigeons! Votre étui, c’en est bien un à violon! Quel triste destin… Puis Jérôme s’en va, la main droite dramatiquement posée sur le front alors q...Départeme...
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Cerné: monsieur Singer
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171; Il en va de l'amour en général comme de l'amour des villes en particulier: quand on est épris d'une cité, on y musarde, on s'y égare, on s'y épuise. Jean-Noël Blanc, Besoin de ville. À l’intention des passants qui eux ne daignent pas lui répondre. Montréal, Québec, Canada. Afficher mon profil complet. Département d'études littéraires (UQAM). La Traversée - Atelier québécois de géopoétique. Librairie Le Port de tête. Ce n'est écrit nulle part. Atelier K - espace fragmentaire. La main, le souffle.
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Cerné: cities
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171; Il en va de l'amour en général comme de l'amour des villes en particulier: quand on est épris d'une cité, on y musarde, on s'y égare, on s'y épuise. Jean-Noël Blanc, Besoin de ville. Sur la poitrine. À l’entrée, le haut-parleur grésillant pousse la voix de Bonifassi –. Called Heaven, I decide to make it mine. 8211; avant d’enchaîner sur une reprise. Joué à l’ harmonica. Montréal, Québec, Canada. Afficher mon profil complet. Département d'études littéraires (UQAM). Librairie Le Port de tête. Le Derni...