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carnets d'errance(s): mai 2010
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Je quitte lacanau sous la pluie. J'arrive à l'hôpital et découvre franck sous assistance d'oxygène,. Je cherche l'infirmière, elle m'explique. Des larmes de rage, d'impuissance et de tristesse brouillent mon regard. Le train file à travers la campagne. Peu à peu le soleil me tient compagnie, éclaire mes images. J'erre en moi, à la recherche de l'apaisement. À la recherche de la force. À la recherche de l'amour. Publié par Emmanuelle Gabory. J'erre dans ces couloirs sans fins. Labyrinthes de la souffrance.
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carnets d'errance(s): février 2011
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Les paroles d'aznavour défilent dans ma tête. Il faut savoir.". Publié par Emmanuelle Gabory. Les autoroutes, rectilignes, peuvent être errances. Comme une sensation d'aller droit dans le mur. Mes yeux errent, brûlés par la blancheur de la neige ou brûlés par les larmes? Je ne sais pas. Je ne sais plus. De battre, mon coeur s'est arrêté. D'errer, mon coeur s'est blessé. Publié par Emmanuelle Gabory. Je pars errer dans les rues d'outremont. La nuit n'est pas encore là. La rue laurier est déserte.
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lieu(x), temps et interstice(s): décembre 2010
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Lieu(x), temps et interstice(s). Certains lieux sont comme des mémoires permanentes. Le temps n'y existe pas vraiment. Je fais les photographies pour que la date de la mémoire existe. Mais sans la date, je ne sais où je suis dans le temps. Le moment peut-être hier. Le moment peut-être avant-hier, le moment peut-être il y a dix années de cela. Comme si le lieu était en soi une mémoire totale. Une mémoire qui inclurait hier, aujourd'hui, demain. Inscription à : Articles (Atom). Afficher mon profil complet.
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lieu(x), temps et interstice(s): parce que les fenêtres nous consolent...
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Lieu(x), temps et interstice(s). Parce que les fenêtres nous consolent. Parce que nous marchons en oubliant parfois de lever la tête,. En oubliant de rêver,. Alors prendre le temps de regarder par la fenêtre, saisir la vision de ce qui est là sous les yeux, qui peut nous emporter loin,. Dans un interstice sans peur. Regarder ce qui nous console. Rêver le lieu de nos extravagations. Inscription à : Publier les commentaires (Atom). Une erreur est survenue dans ce gadget. Afficher mon profil complet.
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lieu(x), temps et interstice(s): mai 2011
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Lieu(x), temps et interstice(s). Ici l'abandon est ailleurs. La lumière sculpte les lieux. Je sens les présences. Comme les lieux de l'exil intérieur. Retrouver les lieux des oublis. Les lieux des parenthèses. Dehors, laisser hurler les chiens. Inscription à : Articles (Atom). Une erreur est survenue dans ce gadget. Afficher mon profil complet. Mon travail, ailleurs. Un jour, un humain. 365 jours par an. Le joli petit village dans les nuages. Les nuits rouges toujours comme les lieux de le.
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lieu(x), temps et interstice(s): janvier 2010
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Lieu(x), temps et interstice(s). Fuite(s)/attente(s), l'entre deux lignes. Inscription à : Articles (Atom). Une erreur est survenue dans ce gadget. Afficher mon profil complet. Mon travail, ailleurs. Un jour, un humain. 365 jours par an. Le joli petit village dans les nuages. Fuite(s)/attente(s), lentre deux lignes.
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lieu(x), temps et interstice(s): décembre 2011
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Lieu(x), temps et interstice(s). Il faudra que le temps et le lieu des larmes soit celui où tous les souvenirs se voilent. Il fait encore nuit. Le froid est si vif que je me réfugie dans l'hôtel. Sur le bureau de la conciergerie, un vase. Je vois ces fleurs, liées, coupées. Coupées de la terre. Coupées de la vie. Je pense à elle. Sa peur de qui j'étais m' avait donné la peur de qui je suis. Je m'étais enfermée en moi, coupée. Partir c'est parfois aimer. Aimer plus que tout. Inscription à : Articles (Atom).
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lieu(x), temps et interstice(s): novembre 2011
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Lieu(x), temps et interstice(s). Parce que les fenêtres nous consolent. Parce que nous marchons en oubliant parfois de lever la tête,. En oubliant de rêver,. Alors prendre le temps de regarder par la fenêtre, saisir la vision de ce qui est là sous les yeux, qui peut nous emporter loin,. Dans un interstice sans peur. Regarder ce qui nous console. Rêver le lieu de nos extravagations. Inscription à : Articles (Atom). Une erreur est survenue dans ce gadget. Afficher mon profil complet. Mon travail, ailleurs.
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lieu(x), temps et interstice(s): juin 2011
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Lieu(x), temps et interstice(s). Errances tarifaines, inventaire. Il y a un détroit. Il y a l'afrique. Et il y a l'europe. Il y a des frontières, certains les traversent plus aisément que d'autres. Il y a une errance dans un village espagnol. À tarifa, j'ai erré. J'ai vu des retraités à la nationalité indéterminée rêver d'autres ailleurs. J'ai vu des kite-surfers au chômage technique, tatoués et torses nus faire des pompes dans la rue. J'ai vu des lieux abandonnés, cela aurait pu être à tanger. Le joli p...
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lieu(x), temps et interstice(s): les lieux "habités"
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Lieu(x), temps et interstice(s). Ici l'abandon est ailleurs. La lumière sculpte les lieux. Je sens les présences. Inscription à : Publier les commentaires (Atom). Une erreur est survenue dans ce gadget. Afficher mon profil complet. Mon travail, ailleurs. Un jour, un humain. 365 jours par an. Le joli petit village dans les nuages. Les nuits rouges toujours comme les lieux de le. Les nuits rouges retrouver les lieux des oubli.